Si la pandémie n’a pas causé les ravages redoutés sur le plan sanitaire en Afrique, elle y a entraîné de profondes mutations dans le monde des affaires.
e-Commerce en ébullition
Dès la confirmation des premiers cas de COVID-19 sur le continent, la majorité des etats ont réagi vite en décrétant confinement et fermeture des frontières.
Ces mesures ont porté le monde du e-commerce en ébullition. Les consommateurs préfèrent désormais acheter en ligne en quelques clics depuis leurs ordinateurs ou téléphones portables en utilisant Jumia, Takealot, Kilimall, Konga ou encore Bidorbuy plutôt qu’affronter la queue et la foule dans les magasins et les restaurants et s’exposer au virus.
Audience
Le grand défi pour les marques dans ce contexte est d’arriver à convaincre les consommateurs de commander des produits premium versus des produits d’appels, aux marges plus importantes et souvent moins visibles en magasin.
Si les canaux appropriés pour atteindre les cibles sont accessibles (sites web, e-mail, Facebook, Twitter, Instagram…), c’est la qualité des messages qui fait la différence : les images, le contenu et la langue.
Virage linguistique essentiel
En Afrique, les entreprises relayant leurs messages en deux langues au moins (souvent français – anglais) s’en sortent généralement mieux sur les marchés internationaux.
Dans ce contexte, il est essentiel que ces entreprises africaines, afin de préserver leur image tout en communiquant avec leur audience sans malentendus linguistiques ou culturels, aient recours (comme partout ailleurs dans le monde) aux services de traducteurs de langue maternelle.
Equipe Ya-Hub Translations. 11 septembre 2020.